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Se loger en vacances pour pas cher

Les vacances d’été approchent. Il est temps d’organiser un petit séjour pour sa famille. Mais pour mieux gérer son budget, pourquoi ne pas chercher des vacances à moindre coût ?

Le plus facile est d’aller dans la famille, pourquoi pas chez belle-maman ? Les enfants sont toujours heureux de passer quelques jours là-bas …
Mais au-delà des vacances dans la famille, il existe aujourd’hui de nouveaux concepts qui se développent sans faire de trou dans le budget familial. Echanger sa maison, penser à la tente … Les hébergements peu onéreux existent, on n’y pense pas toujours !

Trouver des hébergements « bons-plans »

Il existe maintenant de multiples site de réservation en ligne qui vous permettent de trouver le logement de vacance qui répond à vos nombreux critères et surtout qui vous permettra de trouver le bon prix du moment.
Certains sites sont plus spécialisés en fonction du mode d’hébergement recherché, par exemple si vous recherchez un gite. Si vous recherchez une résidence de vacance familiale, certains groupes ont un site qui vous proposera la bonne résidence pour vos critères.
Il existe également des plateformes telle Cozycozy pour comparer les prix de tous les hébergements. Elle peut vous aider à trouver la perle rare.

Echanger son logement

Pour des vacances presque gratuites : pas de frais de location puisque vous échangez votre maison ou votre appartement contre un autre, le temps d’un week-end ou plus.
Rester en France ou partir à l’étranger, vous avez le choix. Il suffit juste de payer le billet d’avion et vous voilà parti pour quelques jours loin de chez vous et à moindre coût. L’échange de maison permet de découvrir des pays, des paysages, des cultures … sans se ruiner !
Il suffit de s’inscrire sur l’un des sites proposant l’échange de maison. Attention toutefois aux sites qui se disent gratuits et qui demandent ensuite des frais d’inscription allant de 30€ à 80€. Mais peut-être est-ce le prix du sérieux !
Après l’inscription, rédigez quelques lignes sur votre logement pour le décrire, publiez quelques photos de l’intérieur et de l’extérieur, puis attendez les propositions. Si vous n’êtes pas patient, commencez vos recherches immédiatement : par continent, par pays, par ville ou au hasard, les choix sont nombreux.
Pour avoir le plus de demandes possibles, il faut vous faire remarquer et bien « vendre » votre logement. Parlez de la proximité de lieux touristiques ou de repos, vantez les qualités des aménagements ou encore la bonne entente avec le voisinage.
Ainsi il est possible d’échanger un appartement en plein centre de Paris contre une villa en bord de mer en Espagne.
Apprenez à connaître les personnes avec qui vous allez échanger. Contactez-les par téléphone, mail ou courrier. C’est bien plus rassurant de cerner la personne à qui vous laisserez votre logement. L’échange doit être basé sur la confiance alors répondez franchement aux questions posées et n’hésitez pas à suggérer quelques bons plans dans votre ville : musées, balades ou restaurants.
Il existe de nombreux sites pour échanger son logement le temps des vacances, switchome.org, echangedemaison.com, echangeimmo.com, echangevacances.com, swapeo.com … Faites votre choix !
Pour en savoir plus, lisez : Bon plan vacances, échangez votre logement !

Garder une maison

Le gardiennage de maison est un concept pensé par les américains. Depuis quelques décennies en France, le gardiennage ou « homesitting » intéresse principalement les seniors. Ils sont attirés par des vacances à faible budget. Ces maisons sont le plus souvent situées à coté de lieux touristiques, de villes balnéaires… La période est définie à l’avance. La durée peut aller d’une semaine à plusieurs mois car certaines personnes utilisent le gardiennage pour leur maison secondaire, ce qui signifie qu’un « homesitter » peut y rester pendant une période de six mois ou plus.
Vous pouvez donc proposer vos services pour gardienner une maison. Contre quelques heures pour nourrir les animaux, arroser les fleurs et faire peur aux cambrioleurs, vous pouvez profiter de belles demeures un peu partout en France. Généralement les agences de « homesitting » demandent de compléter un questionnaire sur vos habitudes de vie, d’apporter un CV et un extrait de casier judiciaire vierge. Il faut aimer les animaux de compagnie, le jardinage, le bricolage, le ménage.
L’avantage du « homesitting » est que l’hébergement est gratuit. C’est une économie certaine car l’hébergement représente en moyenne 30% du budget vacances. Les autres frais sont à votre compte : nourriture, visites, déplacements. Ces maisons se situent majoritairement à proximité de lieux touristiques, ce qui permet de découvrir de nouvelles régions de France. Le « homesitter » peut également profiter de la maison et de ses équipements gratuitement et donc souvent d’une piscine…
Les sites les plus connus sont : gardiennage-vacances.fr, partirtranquille.com, vacancetranquille.fr, partirsanscrainte.fr, domsitting.fr …

Le couchsurfing

Pour les plus aventureux d’entre nous, le couchsurfing permet de passer d’un canapé à l’autre en se faisant offrir l’hospitalité gratuitement.
Si l’hébergeur ne peut pas héberger, il préfèrera choisir le statut « Autour d’un café » ainsi il se rend disponible pour quelques heures afin de discuter ou de faire visiter un lieu.
Le « couchsurfing » a pour but de rapprocher les personnes venant de lieux différents et créer des échanges interculturels. Ce principe ne repose pas seulement sur l’hébergement mais aussi sur l’accompagnement pour visiter la région ou des lieux culturels. L’hébergement ne dure jamais plus de quelques jours.
Il faut seulement s’inscrire sur les sites présentant le « couchsurfing », de remplir toutes les informations nécessaires pour connaître les affinités entre membres. Ils pourront mieux cerner votre personnalité et vos centres d’intérêts. Enfin il est nécessaire de préciser des dates possibles pour le « couchsurfing ». Lors de votre séjour, n’oubliez pas de remercier votre hôte par une petite intention : une bouteille de vin, une spécialité culinaire de chez vous …

Les auberges de jeunesse

Ouvertes à tout le monde et très conviviales, les auberges vous promettent une expérience à petit prix. Les auberges de jeunesse se situent un peu partout en France et à l’étranger. Leur but est de favoriser la rencontre de personnes de cultures différentes et la découverte de nouveaux endroits. Les prix varient selon les villes et peuvent quand même paraître élevés dans les capitales et certaines villes très touristiques traditionnellement chères. C’est souvent, cependant, la meilleure solution.
La plupart des auberges de jeunesse proposent des chambres collectives de 4 à 8 lits et des chambres individuelles de 2 à 4 lits plus destinées aux couples et aux familles. Chaque auberge est équipée de sanitaires collectifs et plus rarement privés. Certaines auberges proposent des activités sportives et culturelles et des rencontres entre voyageurs.

Le camping

Le camping est idéal pour se reposer que ce soit en bord de mer, à la campagne, à la montagne ou proche d’un lac. Le camping reste toujours l’un des choix les plus répandus chez les français. Les logements les plus typiques sont en tente à partir de 5 € par personne et par jour. C’est la formule la plus abordable mais on peut également y faire du camping-car, ou aller en bungalow… Les cabanes nichées en haut d’un arbre, les yourtes ou encore les tipis sont des concepts très demandés qui se développent de plus en plus mais qui restent chers.
Le camping ne fait pas parti des logements les plus confortables mais il reste toujours très demandé surtout par les familles avec enfants. Cela reste un moyen économique de prendre des vacances et permet de répondre au besoin de changer d’environnement à moindre coût.

L’hébergement chez l’habitant à l’étranger

Si vous souhaitez partir à l’étranger, le moyen le plus économique est l’hébergement chez l’habitant. Ce système de logement reste le plus adapté pour les petits budgets et les grandes envies de voyager. En  couple, entre amis ou seul(e), l’hébergement chez l’habitant reste un moyen efficace pour passer des vacances à budget serré. En famille, cela reste possible mais il est plus difficile de se loger rapidement à plus de 3 personnes. Le plus souvent le petit-déjeuner et le dîner se font chez l’habitant, il ne vous reste plus qu’à déguster les spécialités du pays.
Inutile souvent de réserver ; tout dépend du pays où vous allez mais dans de nombreux pays chauds, les habitants ont l’habitude d’offrir aux voyageurs de passage un lit et un repas contre quelques pièces. Si vous ne trouvez pas d’hébergement, pas de panique vous pourrez toujours trouver un petit hôtel pas cher…
Cette formule se développe également dans de nombreuses capitales très chères où les habitants louent une chambre pour les touristes. Dans ce cas cherchez un site spécialisé pour trouver une chambre à réserver chez l’habitant.
L’hébergement à l’étranger permet de découvrir de nouveaux pays, de nouveaux lieux… Vous pouvez apprendre à connaître des cultures différentes de celles de la France, goûter des plats typiques, s’imprégner de nouveaux paysages, de nouveaux monuments… et tout cela à moindre coût. Mais surtout, l’hébergement chez l’habitant permet l’apprentissage de la langue mêlé au plaisir des vacances.
Faites un tour sur ces sites : fr.chambrealouer.com, fr.bedycasa.com, chez-l-habitant.com, airbnb.com et bien d’autres encore …
Vous pouvez maintenant satisfaire toute votre famille avec des vacances sympathiques sans que votre budget n’en ressente les conséquences plusieurs mois après vos vacances !
N’hésitez pas à explorer ces nouvelles voies !

Risque de baisse des prix de l’immobilier

Sans avoir de boule de cristal, l’évolution des prix de l’immobilier pose question à toute personne qui souhaite acquérir ou vendre un logement.
Si certains facteurs classiques peuvent être mis en avant pour expliquer une hausse possible des prix du logement (taux d’intérêts bas, rareté du foncier dans certaines zones), d’autres devraient être mieux pris en compte afin de se forger une conviction et anticiper sur le long terme son budget immobilier.

On oublie un peu vite qu’il existe également aujourd’hui des facteurs qui pourraient tendre à faire baisser durablement le marché de l’immobilier.

Le logement est souvent le premier poste dans le budget d’un foyer et c’est également l’un des plus engageant. On ne déménage pas tous les jours et un crédit immobilier dure souvent près de 20 ans. Pour ces raisons la vigilance est de mise.

La météo du marché immobilier

Il est  surprenant que lorsque les médias évoquent le sujet de l’immobilier, ce soit aux agents immobiliers ou aux notaires que les questions soient posées.
Certes, poser la question à ces professions est légitime, mais ne peut-il pas y avoir conflit d’intérêt ?
De plus ils raisonnent souvent en se référant au passé et ne prennent pas en compte toutes les hypothèses, notamment celles d’un recul du marché.

Les propriétaires de maisons ou d’appartements seraient intéressants à interroger et leurs réponses seraient riches d’enseignements.

Dans une démarche locative, nombreux sont ceux qui aujourd’hui doivent ajuster les prix de location à la baisse ou encore voient la durée de recherche de nouveaux locataires s’allonger.
Dans une démarche de vente, il arrive que certains biens restent plusieurs mois à la vente, voire ne trouvent pas preneur même à un prix en dessous du prix officiel du marché.
Certaines zones voient leur prix de l’immobilier à la vente baisser depuis plusieurs mois déjà.

Une pression à la baisse

Manque de logements ?

D’aucuns s’interrogent sur le nombre de mises en logements qui se serait effondré. Où est le problème s’il manque véritablement de logements en France ?.

On incrimine la loi Duflot et autres incertitudes qui pèsent sur les épaules des futurs investisseurs en immobilier, mais le problème est peut-être que les acheteurs ne trouvent plus tout simplement de rentabilité dans ces investissements : prix  au m2 à la hausse et loyers à la baisse, l’équilibre n’existe plus.

Il manquerait des logements en France (800.000) : en réalité, ce ne sont pas des logements qui manquent au vu des vacances locatives mais de ressources budgétaires pour les personnes en recherche d’un logement à louer !

Des prix gonflés d’artifices

Si les prix étaient moins élevés, un nombre plus important de personnes pourraient avoir accès à un logement correspondant à leur budget.
Regardons du côté de nos voisins allemands qui ont des prix de l’immobilier plus bas qu’en France. L’Allemagne dépenserait 40 milliards d’euros de moins que la France pour sa politique de logement et disposerait d’un marché moins tendu.
En France les prix sont artificiellement gonflés par les nombreuses aides existantes. En supprimant largement les allocations logement qui font monter les loyers, mais aussi les crédits d’impôts ou niches fiscales qui font monter les prix à la construction, on peut penser que les prix de l’immobilier devraient naturellement s’ajuster à la baisse pour satisfaire toutes les parties prenantes (propriétaires et locataires) et sans couter à la collectivité.

Les salaires ne suivent plus !

Les prix n’ont pas toujours été aussi hauts en France. La moyenne historique des prix du logement correspondait à 3 années de revenus. Or le poids du logement a singulièrement augmenté entre 2000 et 2008, par rapport aux budgets des ménages.

La politique accommodante des banques (apport limité, durée des prêts allongée) puis la baisse des taux d’intérêts a permis ce décrochage entre les prix de l’immobilier et l’évolution des salaires.

Or si les taux d’intérêts sont bas aujourd’hui encore, rien n’assure qu’ils le resteront. Enfin, les banques refusent désormais de l’ordre de 25 à 30% des dossiers de demandes de prêts immobiliers.

Faut-il anticiper un ajustement à la baisse du prix de l’immobilier qui correspondrait mieux au budget des ménages ?

Réagissez à cet article dans le forum…

 


Vous payez trop cher vos assurances !

Vive la rentrée ! Au retour des vacances, les feuilles d’impôts tombent dans les boîtes aux lettres. Bientôt, ce sera au tour des assureurs de nous présenter leur cotisation pour 2013. Les premières estimations de hausses pour l’année à venir oscillent entre 4 et 10%. Allez vous vous laisser faire ?

Alors que la crise est partout, la défense de votre budget familial est entre vos mains.

Face à une augmentation d’une prime d’assurance, les marges de manœuvre sont étroites, mais des solutions existent toutefois.

Soyez actifs et réactifs ! La hausse des cotisations assurance n’est pas une fatalité ! Il vous reste du temps (un peu seulement) pour gérer ce budget annuel. C’est à croire que bon nombre de nos « partenaires » dans notre vie quotidienne (banques, assurances, opérateurs téléphoniques…) comptent sur notre paresse administrative pour nous imposer des hausses de tarifs que l’inflation actuelle ne justifie pas. Il n’y a qu’à regarder son salaire pour s’en convaincre.

A la réception du courrier de votre assureur, il vous restera 20 jours pour résilier votre contrat si vous n’êtes pas d’accord avec le prix demandé.

La conjoncture affecte aussi les assureurs…

Les assureurs cherchent à rattraper sur votre cotisation l’argent qu’ils ne gagnent plus sur les marchés financiers. Le placement de leur trésorerie leur rapporte actuellement beaucoup moins car les taux d’intérêt sur les marchés sont très bas et les capitaux se détournent de l’assurance vie (les épargnants préférant se tourner vers les livrets A ou autres produits bancaires).

Si vous n’êtes pas convaincus, allez voir ce que disent les sites investisseurs des grands de l’assurance que sont la CNP ou Axa, par exemple.

Faire des économies grâce à une bonne gestion de son budget.

Dans ce contexte commercial, il est plus que jamais utile de faire jouer la concurrence !

En quelques clics sur un site de comparateur d’assurance, on s’aperçoit qu’on peut obtenir, sans difficulté, une réduction d’au moins 10% !

Assurance : la chasse aux nouveaux clients est ouverte.

Les assureurs veulent de nouveaux clients et négligent les anciens. C’est une invitation permanente à l’infidélité qui nous est proposée par les compagnies qui ont la chance de nous avoir comme client, mais qui ne nous remercient pas.

Soyez "nouveau client" en changeant d’assureur, après avoir vérifié sur le site d’un comparateur ce que peut vous offrir une nouvelle compagnie. Le choix est large et les offres souvent intéressantes pour votre portemonnaie.

Certains pourraient craindre de ne pas être bien remboursés en cas de sinistre. En choisissant une compagnie en ligne, filiale d’une compagnie de bonne réputation, il n’y a pas de raison de craindre de mauvaise expérience.
Les économies réalisées par l’absence d’agence justifient que les compagnies en ligne soient moins chères. 

Au fait, quand avez-vous vu votre assureur pour la dernière fois ?

Low cost oui, low quality non : Avec un budget bien géré, vous faites du bien à vos finances et à votre famille.


Trouver le meilleur devis d’assurance

Se lancer à la recherche de la police d’assurance idéale relève très souvent du parcours du combattant.

Pourtant avec l’augmentation des contrats, qui sont chaque année un peu plus chers, cela vaut souvent  la peine et votre portemonnaie vous remerciera.

Cependant,  Il n’est pas toujours facile d’obtenir rapidement les éléments dont vous avez besoin pour comparer les différentes polices.

Faire établir des devis

Les éléments sur lesquels repose la prise de décision finale figurent sur le devis de la police d’assurance.

Le devis assurance est gratuit. Il précise tous les éléments que vous souhaitez assurer ainsi que les exclusions. Les devis que vous ferez établir devront comprendre des éléments et conditions d’assurance identiques.

Ils vous permettront ainsi d’avoir une idée nette et précise de la police proposée par l’assureur et vous permettront de comparer les devis entre eux.

Le devis est fait pour être étudié à la loupe. Il faut comparer les clauses au peigne fin et effectuer  les calculs qui s’imposent (échéances et coûts totaux, sur l’axe du temps et des évènements prévus et imprévus).

Choisir votre niveau de couverture

Vous devez également rapprocher les risques encourus, la valeur du bien que vous souhaitez assurer, le mode de vie de la famille et le prix de l’assurance.

Par exemple pour une assurance santé, certains choisiront une très bonne couverture plus chère, d’autres préféreront un premier prix qu’ils jugeront suffisant. De même pour une assurance voiture il faudra choisir entre une assurance « tout risque » ou « au tiers » et étudier toutes les options proposées.

Cela vaut la peine régulièrement de réévaluer chaque année ses motivations, il n’est pas toujours indispensable d’avoir une couverture maximum. De même lorsque les enfants sont grands et autonomes l’assurance des accidents de la vie devient moins indispensable.

A contrario, ne sous estimez pas le niveau de couverture.

Sous évaluer la valeur des meubles compris dans un logement fera qu’en cas de sinistre vous serez moins bien assuré.
Omettre certains éléments, comme ne pas déclarer des accidents survenus précédemment risquent même de remettre en cause votre assurance et vous risquez de ne plus être du tout couvert.

Comparer les devis

L’idéal consiste à obtenir différents devis et à les comparer entre eux. Il existe une offre très large en matière de produits d’assurance et il faut faire jouer la concurrence à votre avantage. En d’autres termes, la pépite d’or qui change tout surgit la plupart du temps quand on ne l’attend pas…

Vous pouvez faire le tour des courtiers et des agences de sociétés d’assurance. Mais vous pouvez également  faire faire des devis en ligne et surtout compter sur l’aide bienvenue et précieuse des nouveaux comparateurs en ligne.

Passer par des comparateurs vous  permet d’alléger la charge et de gagner un temps précieux en trouvant pour votre demande spécifique et votre profil personnel, les meilleures offres !

Chaque compagnie a sa propre grille tarifaire en fonction de sa stratégie. Elle définit ses propres critères d’évaluation de risque  (profil familial, analyse géographique, spécialisation sectorielle…) et ses attentes de rentabilité.

Rien de plus simple donc que de comparer tranquillement depuis chez vous les offres, sur votre canapé, avec pourquoi pas l’assistance d’une calculatrice et d’un bon café. Pas de stress ni de tracas, votre parcours parmi les chiffres et les pourcentages devient une promenade de santé grâce aux outils internet disponibles en ligne gratuitement.

Pour ne pas surpayer votre poste assurance qui est déjà bien assez lourd dans votre budget, nous vous conseillons donc de réétudier le prix de vos assurances une fois par an et bien sûr assez tôt avant la date d’échéance.
 


Etre un consom’acteur grâce au commerce équitable

Aujourd’hui, on ne peut plus ignorer les conditions de vie déplorables des producteurs des pays du Sud.
L’organisation du commerce se fait souvent à l’insu et au détriment du producteur et du consommateur. Face à ce fléau, le commerce équitable tente de redonner dignité et autonomie aux producteurs.

La FINE (organisation qui regroupe les 4 fédérations internationales de commerce équitable : FLO, EFTA, NEWS et IFAT) définit le commerce équitable comme étant «un partenariat commercial, fondé sur le dialogue, la transparence et le respect, dont l’objectif est de parvenir à une plus grande équité dans le commerce mondial».
L’idée d’un commerce équitable n’est pas nouvelle. C’est en 1964 que le principe fondateur “Trade, not Aid” (du commerce, pas de l’aide) est lancé.

Actuellement, de nombreux produits de consommation courante sont importés des pays pauvres, dans lesquels les petits producteurs arrivent à peine à survivre.
Le commerce équitable a pour objectif de rémunérer décemment les producteurs pour leur travail.

Concrètement, le réseau d’acteurs du commerce équitable décide d’un prix minimum garanti pour les producteurs.
Ainsi le prix des produits vendus sur le marché «équitable» est plus élevé que celui des produits du marché traditionnel, mais le surcoût que l’on peut constater est intégralement reversé aux producteurs et non aux autres acteurs du circuit de distribution de ces produits.
Ces produits «équitables» portent des marques-labels reconnaissables en magasin (Max Havelaar…).

Tous les acteurs du commerce équitable doivent respecter ces cinq principes :

  • Garantir le respect des droits fondamentaux des personnes et notamment des producteurs,
  • Assurer une juste rémunération du travail des producteurs et artisans les plus défavorisés,
  • Instaurer des relations durables entre partenaires économiques,
  • Favoriser la préservation de l’environnement,
  • Proposer aux consommateurs des produits de qualité.

Les produits du commerce équitable

La liste des produits actuellement concernés par le commerce équitable est très vaste et s’élargit encore régulièrement. Voici les catégories de produits que l’on peut trouver en France :

  • Produits alimentaires et diététiques (café, thé, chocolat, riz, sucre, épices, jus, huile, compléments alimentaires…) issus à 60 % de l’agriculture biologique.

  • Textile et mode (habillage, soieries, uniformes, vêtements professionnels…)
  • Produits de beauté (maquillage, cosmétique, soins du corps, huiles essentielles…)
  • Artisanat (art de la table, statues, encens, bagagerie, vannerie, papeterie, bijoux, instruments de musique, jeux, objets en fibre, bois, os…)
  • Ameublement et décoration (salon, cuisine, salle de bain, tapis, jardin, rangements…)
  • Tourisme équitable.

Où peut-on trouver les produits ?

De nombreux points de ventes de produits issus du commerce équitable existent en France. Ils proposent, par l’intermédiaire de marques, labels et enseignes, des produits très variés.

  • 250 points de ventes spécialisés en commerce équitable (alimentaire, artisanat, textile, documents pédagogiques).

  • 2 500 points de ventes spécialisés en produits biologiques (alimentaire et cosmétique).
  • 10 000 grandes et moyennes surfaces.
  • En ligne ou par correspondance.
  • Marchés locaux, partout en France.
  • Restaurants, traiteurs, cantines.
  • Comités d’entreprises.
  • Distributeurs automatiques de boissons.

Trouvez le point de vente le plus proche de chez vous.

Comment identifier un produit issu du commerce équitable ?

Il n’existe pas de label public pour le commerce équitable, comme on peut en trouver pour les produits biologiques.

Vous pouvez cependant repérer ces produits grâce aux différentes marques et enseignes comme Max Havelaar, Artisans du Soleil, Biocoop, Croq’Nature, Fédération Artisans du Monde, Forest People, La Compagnie Du Commerce Equitable, Les comptoir du Cap, Tourisme et Développement Solidaire et bien d’autres encore.

Le prix juste

Le prix d’un produit équitable est appelé «prix juste».
Il est établi en fonction de plusieurs critères définis en accord avec les producteurs et l’ensemble des acteurs du processus de commercialisation.
Il comprend notamment la rémunération du producteur qui doit lui assurer une vie décente.

Selon le groupe Max Havelaar, un producteur de bananes «équitables» est rémunéré en moyenne près de 3 fois plus que sur le marché conventionnel.
Le consommateur français paye, lui, environ 10,5 % plus cher cette banane «équitable» qu’une banane traditionnelle.

Les produits issus du commerce sont donc un peu plus chers que les produits du commerce traditionnel. Toutefois, ils sont souvent de meilleure qualité et leur achat participe à rendre meilleures les conditions de vie des producteurs.

Le commerce équitable en progression

Le commerce équitable en France n’est pas encore entré dans les habitudes de consommation.
Un français dépense seulement 1,20 € par an en produits issus du commerce équitable, ce qui classe la France dans les «mauvais élèves», même s’il y a une bonne progression depuis quelques année.
Les plus gros consommateurs de produits équitables sont les Suisses, les Autrichiens, les Britanniques et les Néerlandais.

Les différentes crises alimentaires que l’on a connu en France (vache folle, OGM, grippe aviaire…) ont contribué à la sensibilisation et à la réflexion des citoyens sur leur alimentation et sur les alternatives existantes à la production industrielle de masse.
Ainsi le commerce équitable touche de plus en plus de monde et sa notoriété s’accroit.
Le plus simple est de s’informer et de goûter les produits équitables pour être convaincu du bien fondé de ce commerce.

Pour plus d’informations et pour savoir comment agir, rendez-vous sur le site de la Plate-Forme pour le Commerce Equitable


Tous les prix des consultations médicales !

Le prix des consultations médicales et surtout leur remboursement tend à devenir de plus en plus complexe et réserve parfois de mauvaises surprises.
 
Les conditions de remboursement des consultations par l’assurance maladie peuvent varier en fonction de votre âge, de votre situation, de la présence d’un parcours de soins coordonnés et des conditions d’exercice du médecin (secteur 1 ou 2).
 
 
Le cadre général


 
Etes vous dans le cadre du parcours de soins coordonnés ?
 
Le parcours de soins coordonnés établit un cadre administratif qui permet de bénéficier d’une meilleure prise en charge des remboursement des consultations.  Pour être dans ce cadre, vous devez choisir et déclarer un médecin traitant qui pourra vous orienter si nécessaire, vers d’autres médecins généralistes ou spécialistes…
 
Dans le cadre de ce parcours de soins coordonnés, les consultations sont remboursées au taux de 70 % du tarif pour les médecins conventionnés en secteur 1 ou de la base de remboursement pour les médecins conventionnés en secteur 2 qui pratiquent des prix libres.Tarifs de remboursement dans le cadre du parcours de soins coordonnés
 
Si vous êtes hors parcours de soins coordonnés, si vous allez par exemple consulter un médecin sans être orienté par votre médecin traitant, le montant des remboursements par l’assurance maladie sera diminué de 10 %. Tarif de remboursement hors parcours de soins coordonnés
 
Cas particuliers de prise en charge…
 
Quel que soit le prix de la consultation, une participation forfaitaire de 1 € sera retenue pour chaque consultation !
 
Certaines situations peuvent faire l’objet d’une prise en charge supérieure. C’est le cas des personnes atteintes par une affection longue durée, des femmes enceintes de plus de 6 mois et des bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire. Se renseigner auprès de votre médecin traitant ou de l’assurance maladie.
 
Par ailleurs les enfants de moins de 16 ans ne sont pas concernés par le parcours de soins coordonnés, les consultations sont donc toujours remboursées à 70 % et ils ne payent pas la participation forfaitaire à 1€. De plus les bases de remboursement varient selon l’âge de l’enfant.
 
Certaines consultations en accès direct, sans passer par le médecin traitant, sont autorisées. Elles sont prises en charge comme dans le parcours de soins coordonnés. Il s’agit des consultations d’un gynécologue pour les examens gynécologiques périodiques, d’un ophtalmologue pour la prescription et le renouvellement de lunettes et les actes de dépistage et de suivi de glaucome, d’un stomatologue sauf pour des actes chirurgicaux et d’un psychiatre ou neuropsychiatre pour les personnes entre 16 et 25 ans. En dehors de ces cas particuliers, la prise en charge sera établie comme pour un spécialiste que vous consultez dans le cadre ou non d’un parcours de soin.
 
Dépassements d’honoraires
 
Il peut arriver que des médecins vous demandent des dépassements d’honoraires. Ce peut être le cas si vous faites une demande particulière comme une visite en dehors des heures de visites habituelles.. Ces dépassements ne sont pas remboursés par l’assurance maladie.
Par ailleurs les médecins en secteur 2 peuvent pratiquer des honoraires libres. Le dépassement d’honoraire est donc autorisé et n’est pas remboursé par l’assurance maladie. Il reste donc complètement à votre charge et peut être élevé. Il est admis que les tarifs doivent être établis avec tact et mesure, mais c’est une notion qui n’est pas facile à définir… Il convient donc de se renseigner sur les honoraires avant de consulter ou d’engager des soins avec ces praticiens.
 
 
Si vous êtes dans le cadre d’un parcours de soins coordonnés,


 
Tarif du médecin traitant
 
Il s’agit du médecin que vous aurez choisi et déclaré comme étant votre médecin traitant auprès de l’assurance maladie. C’est le plus souvent un généraliste et dans certains cas ce peut être un spécialiste.
 
Médecin
Tarif
Taux de remboursement
Montant remboursé par l’Assurance Maladie*
Généraliste
secteur 1
22€
70%
14.40€
Généraliste
secteur 2
Honoraires libres
Base remb : 22€
70%
14,40€
Spécialiste
secteur 1
25€
70%
16,50€
Spécialiste
secteur 2
Honoraires libres
Base remb.  : 23€
70%
15,10€
Psychiatre Neurologue 
secteur 1
37€
70%
24,90€
Psychiatre Neurologue 
secteur 2
Honoraires libres
Base remb : 34,30€
70%
23,01€
 
 
Tarif des médecins correspondants
 
Il s’agit des médecins vers lesquels vous a orienté votre médecin traitant et qui effectuent un suivi régulier.
 
Médecin
Tarif
Taux de remboursement
Montant remboursé par l’Assurance Maladie*
Généraliste
secteur 1 ou 2 avec option
25€
70%
16,50€
Généraliste
secteur 2
Honoraires libres
Base remboursements : 22€
70%
14.40€
Spécialiste
secteur 1 ou 2 avec option
28€
70%
18,60€
Spécialiste
secteur 2
Honoraires libres
Base remb.  : 23€
70%
15,10€
Psychiatre Neurologue 
secteur 1 ou 2 avec option
41€
70%
27,70€
Psychiatre Neurologue 
secteur 2
Honoraires libres
Base remb : 34,30€
70%
23,01€
Cardiologue 
secteur 1 ou 2 avec option
49€
70%
33,30€
Cardiologue 
secteur 2
Honoraires libres
Base remb : 45,73€
70%
31,01€
 
 
Tarif des médecins correspondants pour avis ponctuels
 
Il s’agit des médecins qui sont consultés ponctuellement pour donner un avis et vers qui vous a orienté votre médecin traitant.
 
Médecin
Tarif
Taux de remboursement
Montant remboursé par l’Assurance Maladie*
Spécialiste
secteur 1 ou 2 avec option
44€
70%
29.80€
Spécialiste
secteur 2
Honoraires libres
Base remb.  : 44€
70%
29.80€
Psychiatre Neurologue 
secteur 1 ou 2 avec option
55.00€
70%
37.50€
Psychiatre Neurologue 
secteur 2
Honoraires libres
Base remb : 55.00€
70%
35,50€
* Y compris participation forfaitaire de 1€ sauf pour les personnes de moins de 18 ans,
les femmes enceintes de plus de 6 mois, les bénéficiaires de la CMU ou aide médicale de l’état
 
 
Tarifs des médecins hors du parcours de soins coordonnés


 
 
Médecin
Tarif
Taux de remboursement
Montant remboursé par l’Assurance Maladie*
Généraliste
secteur 1
22€
60%
12.20€
Généraliste
secteur 2
Honoraires libres
Base remboursements : 22€
60%
12.20€
Spécialiste
secteur 1
33€ max
Base remb.  : 25€
60%
14€
Spécialiste
secteur 2
Honoraires libres
Base remb.  : 23€
60%
12,80€
Psychiatre Neurologue 
secteur 1
49€ max
Base remb.  : 37€
60%
22,13€
Psychiatre Neurologue 
secteur 2
Honoraires libres
Base remb : 34,30€
60%
20,51€
Cardiologue 
secteur 1
58€ max
Base remb.  : 45,73€
60%
28,51€
Cardiologue 
secteur 2
Honoraires libres
Base remb : 45,73€
60%
28,51€
* Y compris participation forfaitaire de 1€ sauf pour les personnes de moins de 18 ans, les femmes enceintes de plus de 6 mois, les bénéficiaires de la CMU ou aide médicale de l’état
 
 
 
Tarifs particuliers pour les moins de 16 ans


 
Tarifs des médecins pour les jeunes de moins de 16 ans – Ce tarif est unique car il n’existe pas pour eux de parcours de soins coordonnés.
 
 
Médecin
Tarif
Taux de remboursement
Montant remboursé par l’Assurance Maladie
Généraliste
secteur 1 – moins de 2 ans
27€
70%
18,90€
Généraliste
secteur 1 – 2 à 6 ans
25€
70%
17.50€
Généraliste
secteur 1 – 6 à 16 ans
22€
70%
15.40€
Généraliste
secteur 2 – moins de 2 ans
Honoraires libres
Base remboursements : 27€
70%
18,90€
Généraliste
secteur 2 – 2 à 6 ans
Honoraires libres
Base remboursements : 24€
70%
17.50€
Généraliste
secteur 2 – 6 à 16 ans
Honoraires libres
Base remboursements : 22€
70%
15.4€
Pédiatre
secteur 1 – moins de 2 ans
31€
70%
23,20€
Pédiatre
secteur 1 – 2 à 16 ans
28€
70%
19,60€
Pédiatre
secteur 2 – moins de 2 ans
Honoraires libres
Base remb.  : 28€
70%
21,10€
Pédiatre
secteur 2 – 2 à 16 ans
Honoraires libres
Base remb.  : 23€
70%
16,10€
Spécialiste
secteur 1
28€
70%
19,60€
Spécialiste
secteur 2
Honoraires libres
Base remb.  : 23€
70%
16,10€
Psychiatre Neurologue 
secteur 1
41€
70%
28,70€
Psychiatre Neurologue 
secteur 2
Honoraires libres
Base remb : 34,30€
70%
24,01€
Cardiologue 
secteur 1
49€
70%
34,30€
Cardiologue 
secteur 2
Honoraires libres
Base remb : 45,73€
70%
32,01€
 

Indice des prix à la consommation

L’indice des prix à la consommation est un indice qui est calculé par l’INSEE et qui est édité chaque mois. Il s’agit d’un instrument de mesure qui permet d’évaluer la variation du niveau général des prix en France. 

Cet indice est une moyenne des indices élémentaires des prix de 1 000 familles de produits suivis tous les mois.
Elle tient compte du poids de chaque famille de produits dans la consommation des ménages.

C’est à partir de cet indice que l’on évalue l’inflation. Il sert de base également à la réévaluation des pensions alimentaires (Séries hors tabac) ou de certaines allocations.

Période Ménages urbains dont le chef est ouvrier ou employé Hors tabac
Ensemble des ménages

Hors tabac
Date de parution Ensemble  ménages avec tabac
Indice / 1 mois
en %
 /1 an
en %
Décembre 2011 123,35 123,51 12/01/2011 125,09 +0,4 +2,5
Novembre 2011 122,86 123,00 13/12/2011 124,58 +0,3 +2,5
Octobre 2011 122,73 122,59 10/11/2011 124,24 +0,2 +2,3
Septembre 2011 122,38 122,49 12/10/2011 124,52 0 +2,1
Août 2011 122,42 122,59 13/09/2011 124,55 +0,5 +2,2
Juillet 2011 121,80 121,94 12/08/2011 123,40 -0,4 +1,9
Juin 2011 122,38 122,49 12/07/2011 123,95 +0,1 +2,1
Mai 2011 122,30 122,40 15/06/2011 123,85 +0,1 +2,0
Avril 2011 122,20 122,32 12/05/2011 123,78 +0,3 +2,1
Mars 2011 121,74 121,90 13/04/2011 123,36 +0,8 +2,0
Février 2011 120,77 120,90 15/03/2011 122,36 +0,5 +1,7
Janvier 2011 120,24 120,32 23/02/2011 121,79 -0,2 +1,8
Déc. 2010 120,53 120,61 13/01/2011 122,08 +0,5 +1,8
Nov. 2010 120,03 120,09 14/12/2010 121,53 +0,1 +1,6
Octobre 2010 119,97 120,03 10/11/2010 121,39 +0,1 +1,6
Sept. 2010 119,83 119,88 13/10/2010 121,23 -0,1 +1,6
Août 2010 119,88 119,97 14/09/2010 121,32 +0,2 +1,4
Juillet 2010 119,61 119,68 13/08/2010 121,04 -0,3 +1,7
Juin 2010 119,96 120,02 13/07/2010 121,38 0,0 +1,5
Mai 2010 119,99 120,04 11/06/2010 121,31 +0,1 +1,6
Avril 2010 119,88 119,90 12/05/2010 121,26 +0,3 +1,7
Mars 2010 119,54 119,58 13/04/2010 120,94 +0,5 +1,6
Février 2010 118,96 118,99 16/03/2010 120,36 +0,6 +1,3
Janvier 2010 118,33 118,32 26/02/2010 119,69 -1,2 +1,1
Décembre 09 118,58 118,60 13/01/2010 119,96 +0,3 +0,9
Novembre 09 118,29 118,31 15/12/2009 119,64 +0.1 +0.4
Octobre 09 118,22 118,23 13/11/2009 119,48 0.1 -0.2
Septembre 09 118,09 118,12 12/10/2009 119,37 -0.2 -0.4
Août 2009 118,30 118,41 15/9/2009 119,66 +0.5 -0.2
Juillet 2009 117,73 117,80 12/8/2009 119,05 -0.4 -0.7
Juin 2009 118,27 118,33 16/7/2009 119,58 +0.1 -0.5
Mai 2009 118,17 118,18 12/6/2009 119,43 +0.2 -0.3
Avril 2009 118,00 118,00 15/5/2009 119,25 +0.2 +0.1
Mars 2009 117,84 117,81 10/4/2009 119,06 +0.2 +0.3
Février 2009 117,61 117,59 12/03/2009 118,84 +0,4 +0,9
Janvier 2009 117,18 117,13 20/02/2009 118,39 -0,4 +0,7
Décembre 08 117,65 117,63 14/01/2009 118.88 -0,2 +1,0
Novembre 08 117,90 117,92 19/12/2008 119.17 -0,1 +2,7
Octobre 08 118,42 118,56 13/11/2008 119,73 -0,1 +2,7
Septembre 08 118,44 118,49 14/10/2008 119,80 -0,1 +3,0
Août 2008 118,46 118,64 14/09/2008 119,88 +3,17
Juillet 2008 118,51 118,69 20/08/2008 119,92 +3.61
Juin 2008 118,78 118,95 20/07/2008 120,17
Mai 2008 118,38 118,50 13/06/2008 119,73
Avril 2008 117,75 117,86 22/05/2008 119,10
Mars 2008 117,35 117,46 18/04/2008 118,70
Février 2008 116,47 116,57 15/03/2008 117,81
Janvier 2008 116,25 116,32 23/02/2008 117,56
Déc. 2007 116,36 116,46 17/01/2008 117,70
Nov. 2007
115,93
116,02
15/12/2007
117,26
Octobre 2007
115.36
115.37
16/11/2007
116.62
Sept. 2007
115,03
115,08
14/10/2007
116, 33
Août 2007
114,89
114,97
 3/10/2007
116,20
Juillet 2007
114,53
114,60
 18/08/2007
115,74
Juin 2007
114,86
114,90
20/07/2007
116,03
Mai 2007
114,71
114,75
30/06/2007
115,89
Avril 2007
114,44
114,46
25/5/2007
115,60
Mars 2007
113,89
113,90
06/05/2007
115,04
Février 2007
113,41
113,41
20/03/2007
114,55
Janvier 2007
113,21
113,19
25/02/2007
114,34
déc. 2006
113,57
113,59
18/01/2007
114,73
nov. 2006
113,32
113,33
17/12/2006
114,47
octobre 2006
113,16
113,20
15/11/2006
114,34
sept. 2006
113,35
113,45
18/10/2006
114,59
août 2006
113,52
113,71
07/10/2006
114,85
juillet 2006
113,16
113,32
31/08/2006
114,46
juin 2006
113,38
113,51
20/07/2006
114,65
mai 2006
113,36
113,52
20/06/2006
114,66
avril 2006
112,90
113,02
20/05/2006
114,16
mars 2006
112,46
112,54
21/04/2006
113,69
février 2006
112,11
112,21
17/03/2006
113,36
janvier 2006
111,69
111,78
24/02/2006
112,94
déc. 2005
111,8
111,9
20/01/2006
113,0
nov. 2005
111,6
111,8
16/12/2005
112,9
octobre 2005
111,8
112,0
16/11/2005
113,
sept. 2005
111,8
112,0
19/10/2005
113,2
août 2005
111,4
111,6
22/09/2005
112,7
juillet 2005
111,0
111,1
17/08/2005
112,3
juin 2005
111,3
111,3
22/07/2005
112,5
mai 2005
111,2
111,2
19/06/2005
112,3
avril 2005
111,1
111,1
18/05/2005
112,2
mars 2005
110,9
110,9
21/04/2005
112,0
février 2005
110,2
110,2
23/03/2005
111,3
janvier 2005
109,6
109,5
26/02/2005
110,7

Pour être plus proche des consommations spécifiques à chaque ménage, l’INSEE vous propose de simuler directement sur son site votre propre Indice de prix personnalisé.

Pour information, cette simulation nécessite que le format SVG (Scalable Vector Graphics) soit pris en charge par votre navigateur ou par un module externe.

Pour plus de renseignements, consulter le site de l’INSEE